mardi 17 novembre 2009

Pour ou contre le system educatif en Inde??

L’Inde met son orgueil à s’appeler le centre mondial des cerveaux. Elle produit les intellectuels les plus nombreux dans le monde n’empêche qu’elle a un system éducatif qui ne fait pas souvent plaisir à ses critiques. Pourquoi existe-t-il, ce paradoxe ?

Quand vous tenez ce sujet sous un microscope, vous pourriez bien déterminer que le contenu des études indiennes est le plus exigeant. Même les étudiants de niveau 1 sont équipés d’un tas de livres et de cahiers. Cependant les Indiens sont aussi également assoiffés des savoirs. Ils sont aussi énormément travailleux. Ce qui est louable chez les Indiens, c’est leur capacité de saisir efficacement tout ce qui est lancé à l’égard d’eux par l’intermédiaire des livres. Et biensûr ce sont les surdoués dont on a besoin pour entraîner un changement révolutionnaire dans chaque domaine de la vie ; et les Indiens sont absolument ça! Mais il n’y a pas de moyen formidable pour diriger ces cerveaux tous précieux.

A noter qu’un élément primordial qui manque dans le system éducatif indien, c’est l’entraînement d’affronter le monde pratique. Le system a concentré tous ces efforts en créant des intellectuels mais en le faisant, ils ont ignoré l’importance d’enseigner aux étudiants comment appliquer leurs connaissances au cours de leurs travaux. En outre, le system met à l’écart le développement physique d’un étudiant. Il n’encourage non plus l’art de communication. En conséquence, un étudiant indien n’est pas aussi habile que ses contemporains étrangers lorsqu’il prend ses premiers pas dans l’univers professionnel. Bien que son parcours scolaire soit très enrichissant, il ne peut pas acquérir le succès qu’il mérite. Il y a donc un besoin pressant de trouver une solution.

Franchement, moi, je ne suis pas résolument contre le system éducatif qui est présent en Inde. A la fois, il ne faut pas mettre tous vos œufs dans le même panier. Il est nécessaire qu’on se rende compte que la compétence varie d’un étudiant à l’autre. Il faut garantir l’épanouissement général des étudiants de sorte qu’ils se sentent libres à dessiner leur propre parcours professionnel.

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